En France, le secteur des transports est le plus émetteur de GES. Près de 54% sont dégagés par les véhicules particuliers. En 2019, près de 37,7 millions de véhicules particuliers circulaient en France.
Ce moyen de transport en commun émet seulement 14g de CO2/personne/km contrairement à l’avion (285g de CO2/personne/km) et le bus (68 de CO2/personne/km).
Menaçant la qualité de l’air, l’eau potable, l’accès à la nourriture ou encore la sécurité du logement, les conséquences sur le domaine de la santé sont nombreuses.
En juillet 2022, les eaux de surface ont atteint plus de 30°C au large de la Corse. La température enregistrée était entre 4 et 6°C au-dessus des normales de saison, impactant la vie marine.
Presque autant de touristes que d’habitants en Méditerranée : Le bassin méditerranéen, avec 400 millions de touristes chaque année. Ceci n'est pas sans conséquence sur le bassin.
25% du trafic maritime mondial et 30% du trafic des pétroliers circulent à l'intérieure de cette mer. S'ajoute à ça l’important trafic de ferry, qui augmente les risques de collisions avec les cétacés
« Le changement climatique, ce n’est pas le futur, c'est la réalité d'aujourd'hui. ». Et oui ! La Méditerranée est déjà atteint une température de +1,5°C.
Première victime du dérèglement climatique, la Méditerranée compte principalement des petites exploitations agricoles. 80% des cultures et du bétail sont sous tension face à la situation actuelle.
80 % des personnes déplacées par les catastrophes et les changements climatiques dans le monde sont des femmes et des filles. Elles sont les premières personnes à interagir avec les milieux naturels et leurs ressources.
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